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 Assasin de la police. OUAH OUAHHHH. GEORGE. PAPY HEMINGWAY

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AuteurMessage
George L. Hemingway
My name is Bond
George L. Hemingway

Fuck Again

ﻬ Pourparlers : 27
ﻬ A Scilly depuis : 07/03/2011
ﻬ Humeur : Lorsqu'une vache chiale. J'suis heureux.


Assasin de la police. OUAH OUAHHHH. GEORGE. PAPY HEMINGWAY Vide
MessageSujet: Assasin de la police. OUAH OUAHHHH. GEORGE. PAPY HEMINGWAY   Assasin de la police. OUAH OUAHHHH. GEORGE. PAPY HEMINGWAY TimeMar 15 Mar 2011 - 21:12

George Louis Hemingway
Feat Anthony Hopkins

«Le Japon, c'est comme le ricard, plus y'a d'eau, moins y'a de jaunes ;;

the H.O.W.L.I.N.G.



"Le Président à Vie O'Connor ne reçoit pas les petites gens, veuillez vous adresser à un des cabinets." C'est les mots dont la secrétaire du nouveau dictateur se chargea de déclamer au coup de téléphone particulièrement important de George. Elle ne savait pas, à ce moment, qu'elle parlait à l'ancien Premier Ministre Anglais, amant de la Reine d'Angleterre pendant quelques années, cet homme demeura un membre important après son départ forcé et obligatoire du poste exécutif. Limogé en pleine force de l'âge, il ne supporta pas bien longtemps d'être éloigné des fonctions politiques. Bien entendu, la Reine d'Angleterre avait été renvoyée dans ses douze palais du centre Londonien, et dans ses petites campagnes.
George Louis Hemingway naquit dans un petit bourg du nom aussi doux que les radiations japonaises sur la pauvre bouille des enfants adorateurs de sushis, et de mangas en tous genre, une petite banlieue au nord de la ville de Londres. Cet homme, de grande importance fut élevé par une famille plutôt admirative du petit dernier, le petit était gâté par Tata Suzanne, une grosse femme de cent kilo au ventre proéminent, et aux yeux renfoncés, comme la bite d'un ours après avoir copulé avec un canari en manque.
Comme tous les enfants, George rêvait d'être un type riche, célèbre, et pouvant tremper son biscuit dans n'importe quel orifice acceptable, même, parfois ceux d'animaux en chaleur après le concert du mort-vivant mais vivant quand même, Manson, vampire suceur de sang blanc de son état.
On ne connait pas publiquement le passé de George, il tente de cacher ce dernier, et comme l'a très bien dit, Jackson Thomas, son biographe officiel "La zone d'ombre est excitante, les ténèbres séduisent cet homme."

Aux fondements de ce projet, deux noms ressortent toujours. En effet, lorsqu'on évoque le centre de Scilly, on ne peut s'empêcher d'évoquer le nom d'Henry O'Connor, nouveau Président à Vie installé pour régner dans un pays affaibli par la modernité, et la dictature instaurée. On évoquera aussi le nom de Hannibal Blackstone, grand dirigeant des polices privées gouvernementales et de la Blackstone's SMP, une société militaire privée dont le but est d'arracher les poils d'anus aux prisonniers pour les faire parler...
On évoque aussi le nom d'Hemingway, pas de l'écrivain constipé qui aurait pondu deux trois merdes littéraires après s'être prit quelques balles au front et qui aurait eu quelques trous saignants dans la peau, pas des hémorroïdes où l'on pense, je n'oserais critiquer ce beau moustachu.
George Louis Hemingway, alors occupant d'un poste au Ministère de la Justice, récemment chargé de faire exécuter les militants anti gouvernementaux et d'éradiquer toutes fortes de troubles psychiatriques a évoqué Scilly pour la première fois. C'est donc afin de mettre son projet en œuvre qu'il arriva ci pour la première fois. Il supervisa les travaux, et dans un premier temps, nomma un gérant. Puis, le goût de ce genre de pénitences l'attira bien volontiers, il demanda la démission, et son engagement au poste de Maitre Absolu de l'Île. Il début son règne ici, comme les testicules d'un taureau, imposant et collant.

Avatar © crédit



the seemingly, far from reality
.


"Monsieur Hemingway est un peu notre Libyen à nous. Comme j'ai pu le voir sur la presse volée aux gardiens pendant qu'ils s'amusaient à l'activité principale entre eux, la masturbation de groupe, il parait que ça craint du boudin en Libye... Nous oseront appeler cela du boudin, même si le porc et eux, ça fait deux. Parce que vous pouvez comprendre, qu'ici, à part les distractions stupides comme lire les journaux, nous nous ennuyons. La faute à Georgy et à ses disques périmés de Tracy Chapman. De plus, si j'aurais pas été interné pour Résistance abusive, et crimes contre ce qu'il appelle une Humanité, j'aurais pu reprendre en coeur "Talking About A Revolution" avec lui, mais, de la part d'un lèche cul comme lui, ça serait mal venu... Sans vouloir être raciste, George est trop blanc à mon goût, sauf sa langue, qui à force de lécher notre pauvre O'Connor est devenu aussi noire que les tréfonds de son âme torturée. Il parait que sa jeunesse ne fut pas si simple que Monsieur Thomas le dit dans "George Louis Hemingway, le destin fabuleux d'un homme extraordinaire". La plupart des choses sont fausses, Hemingway est un pervers détraqué, un fou, un sadique." Un détenu.

"J'ai connu George à ses un an et trois quart. Dés le début, alors que nous étions très petits, cet homme s'est montré être quelqu'un de très instruit. En effet, alors que je m'amusais encore devant des dessins animés non japonais (et non radioactifs par cette occasion), George en était déjà à parler de politique, et de lois moralistes. Cet homme a su, par son intelligence, son génie même, me démontrer qu'il était digne d'intérêt. Tout de suite très peu apprécié de la plupart des compagnies humaines, je me sentais, comme transporté en sa présence. Il a pu, durant notre enfance, démontrer aux professeurs constipés de Londres, qu'il serait quelqu'un qui révolutionnerait le monde. Je ne pensais pas bien dire...
Au fond de lui, il n'était pas comme le commun des mortels, à rire de grosses vaches qui se vautraient sur un plancher, il était amoureux d'un humour noir, blessant. George a toujours eu un penchant pour la discipline, l'Ordre, lorsqu'il fut élu au service de son pays, j'occupais un poste banal de professeur de lettres. Depuis qu'il a eu la tête de l'état, j'ai vu mon poste modifié, j'ai eu la joie de découvrir le piston, et aujourd'hui, grâce à ce formidable homme, je suis le vice directeur des lieux. C'est pour cela que j'aime profondément cet homme, je le respecte. " Jeremiah Vissari Stahal, co directeur des lieux.


"Notre ancien Ministre a su faire face à la situation de crise qui emplissait le monde jusqu'à aujourd'hui. Fauché dans son rêve d'espérance et de gloire, l'Angleterre se doit de changer de propriétaire. Cet homme fut héroïque pour sa Patrie, George Louis Hemingway fut un homme admirable durant toutes ses années. Cet homme aux tempes grises, aux yeux bleus perçants vous fixe, vous dévisage avec cet air hautain, cet air réellement supérieur. Il s'investit dans tout ce qu'il fait et nous a démontré, au fil des années, ô combien il avait pu être un homme chargé d'une intelligence sans failles. Nous pouvons admirer dans cette silhouette fine, presque frêle, un majestueux air de majesté. Ce visage qui n'exprime aucun sentiments, qui ne laisse aucune idée transparaitre se révèle être l'un des plus grands pères des Nations. Un homme qui a su éliminer les détracteurs de l'Angleterre. Pour des siècles, la Mémoire d'Hemingway flottera sur nos terres, pour des milliers d'années, le Nouvel Ordre se souviendra de son plus brillant grand parent. Merci à vous, monsieur Hemingway." Henry O'Connor, Nouveau Président à vie.

you're a part of this story
.


"Terres dévastées, ruines fumantes, bruits d'explosions incessants. C'est par cette courte phrase que je soulignerais mes souvenirs des premières années de ma vie. Bien entendu, malgré un cerveau que je sais assez poussé, presque aussi développé que l'odeur du sperme dans la bouche, je ne me souviens pas de ma naissance, ni des trois premières années de ma vie. Quelques images me viennent parfois, projetées comme une radiation dans les fesses d'un japonais. Je vois parfois un visage figé dans l'élan de jouissance, en réalité... Plutôt celui de pousser un cri atroce, une femme, elle est belle. Deux diamants d'un vert profond, parsemés d'un brin de noir en guise d'yeux, un visage aux traits assez fin, comme si un peintre aveugle avait parfaitement esquissé ce petit nez en trompette, ce menton d'une finesse sans pareille, deux lèvres fines et si attirantes. La magnifique femme, dans chacune de mes visions tombe dans un dernier cri silencieux, lorsqu'à la manière d'une caméra, je la vois en gros plan, son corps est coupé en deux, les jambes sont séparées du corps, elles flambent.

Il m'arrive aussi de voir un grand homme, j'ai l'impression de me regarder dans un miroir que ce bon vieux coincé de Sigmond désignerait de rêves, mais ça ressemble plus aux descriptions de la vielle gitane qui se farcit les clients dans son arrière boutique de "Voyance Expresse". Cet homme me ressemble très fortement, mais il est plus petit, plus trapu. Un badge est accroché à sa poitrine, je ne lis pas ce qui est marqué dessus, ça semble être un nom, tracé d'un vert penchant, presque hypnotisant. Ce n'est pas un type normal, ça se sent. J'ai toujours eu un don pour juger les gens du premier coup d’œil et ce sosie mal recopié, ce Viêt du clonage ne semble pas net. Une barbe de trois jours, une main tremblante lui donnent un côté allemand très fort. Pourtant, il pose aux côtés d'un type en uniforme. Ces visions me reviennent parfois, lorsque je connais de lourdes périodes de stress.

Elles ont débuté à l'âge de trois ans, alors que j'apprenais que le Père Noël n'existait pas, déçu de ce que je pensais être mes parents à cette époque, je m'étais enfermé dans ma chambre, sans me nourrir, sans prendre la peine de donner à manger aux tambourinements presque sexuels d'un estomac d'obèse réclamant la dose journalière d'un africain. Elles ne m'ont presque jamais quittées, ne laissant qu'un bref répit parmi l'obscurité. Depuis ce temps, je suis devenu un insomniaque profond, ne dormant pas plus que Mylène Farmer dans un lit, je passe mes soirées à diverses occupations, je peux me plonger pendant des heures dans des lectures qui me rappelle la belle époque, celle de l'enfance. Fils spirituel de la littérature étrangère, je me retrouve parfaitement dans certains personnages de Molière, tantôt Tartufe, tantôt Misanthrope.

Si quelque chose me fut inculqué au cours de cette enfance promulguée par deux tuteurs que je pensais mes parents fut des valeurs morales que jamais je n'aurais pu bafouer, contre vent et tempête, je me défendrais d'être queqlu'un de bon, qui a œuvré pour le bien de son pays pendant plus de trente ans. Ultra conservateur sur les bords, je me réjouis de ne pas avoir été Président de la France, Noël Mamère et ses grosses moustaches attirant parfaitement la peur dans mon pauvre être. Je me vante également d'avoir évité Merkel et ses culottes de cheval. J'ai été élevé selon des principes très religieux, anti anglicanisme, mais très branché catholicisme , je visitais souvent des églises durant la période de l'adolescence. Je m'y attachais particulièrement, aux douceurs des courbes des cathédrales aux gorgones primitives, je me souviens jusqu'à l'odeur de moisi si enivrante qui flottait comme les paroles d'un libyen trop énervé dans un air propre, pur.
Je me détachais de cette religion lorsque j'étais admit à l'école supérieure d'études et de sciences politiques de Londres. En effet, la religion encore très présente dans mon esprit fut balayé au profit d'une science et d'un autre mode de vie, celui de la rationalité.
Mon ami Jeremiah me disait toujours que j'étais un des amis de Dieu, ne pouvant tailler de pipes au Divin, j'avais quelques autres privilèges que je n'aurais laissé au bord d'une route pavée pour rien au monde, même, au péril de ma vie. J'avais en ma possession un savoir, un réfléchi que je comptais bien utiliser à des fins politiques. Depuis l'âge de trois ans, je suivais des débats, je pouvais, des heures entières fixer un écran de télévision pour y écouter les Lords, de costumes magnifiques vêtus.
C'est dans les années qui suivirent ma sortie de l'école que je devenais pour l'Angleterre, un homme avec un certain mérite, quelqu'un qui se faisait connaitre pour être un des plus jeunes secrétaires d'état. Je fis la rencontre d'un homme qui, sans le savoir aller bouleverser ma vie à jamais. Le Professeur O'Connor, cet homme de trois ans mon ainé était quelqu'un d'assez impoli, mais pourtant, il y avait de cette bouche, de ses paroles quelque chose de sacré, une prière mystérieuse. Je les buvais avec démence, j'étais envouté par le moindre de ses dires. Il m'introduisit parfaitement aux fondements d'une Nation propre. J'étais séduis par une telle intelligence, une lucidité sans failles.
Je pensais sincèrement qu'un jour cet homme deviendrait encore plus important qu'aujourd'hui, déjà directeur du Génie Militaire Anglais, et vice président de la Commission à l'Aviation, il pouvait à tout moment, faire appel à ses hommes et renverser le pouvoir. Il n'eut à cette époque, pas de raisons de le faire.
Le Professeur s'éloigna, il fut envoyé en mission à l'autre bout de la Manche, la France était déjà dans une période de Révolution sans précédent, un régime de dictature s'était installé, et les Anglais, amoureux de la démocratie s'y opposait parfaitement. De gestes lasses, O'Connor s'exécutait, même si au fond de moi, je savais que cet homme aimait le totalitarisme, qu'il était un fanatique d'Adolf Hitler et de Joseph Staline.

Il fait beau.
Un cadavre.
Une femme.
Elle est belle.
Nue.
Découpée.
Approche toi, que je te vois


Au moment où j'écris, mes yeux sont lourds, à demi clos. Mon verre de whisky est pour la dixième fois de la soirée dans un état proche du zéro absolu. Mon cerveau me joue des tours, cette femme apparait encore. Je lutte, ferme les yeux, les ouvre.
Où en étais-je déjà ? Ah oui ! J'évoquais la situation en France. Alors que nous pensions que cela serait comme Susanne Boyle : laid mais isolé. Nous nous trompions royalement, ce fut ensuite le tour de plusieurs grands états européens. Constamment, les frontières étaient condamnées. Il m'est arrivé, alors que j'étais Ministre aux Affaires des Autres (étrangères), j'ai du faire dans la finesse* (* en français dans le texte). pour y entrer. Je me suis rendu sur place, la situation est exprimée dans mon rapport du dix juin par une phrase "Apocalypse, terres dévastées. Europe dans un état grave, la fin est proche."

Oh oui, encore un peu.
Je peux sentir la peur sur ton visage.
Je peux voir tes yeux ronds
Je peux voir ton corps décharné.
Je veux le toucher, je veux te faire crier encore un peu.


Je me sens mal, mes yeux me jouent encore des tours, mon cerveau est dans un état second, mes mains sont crispées, la plume s'abbat sauvagement sur ma feuille. Mon souffle se fait légèrement décalé, je suis malade, très malade. Je me sers un verre de Whisky, je bois encore, je tente de faire partir ces images de mon crâne, elles y sont ancrées, impossible. Je me sens encore plus mal, j'ai froid, j'ai chaud. Mon corps brûle de l'intérieur, mon sexe me fait frisonner. Ma main lourde écrit encore sur ce bout de papier, mon cerveau est transporté. Je quitte spirituellement ce monde pour quelques instants.

Viens par ici
Viens me voir
Je suis un gentil homme
Je veux juste te tuer
Te faire du mal
Je veux juste de découper
Je veux juste te faire crier
Souffres encore, j'aime ça.


Mes souvenirs deviennent plus présents encore, je rythme mes pensées qui soulagent mon corps, je chantonne, ça y est, tout est très clair pour moi, laissez moi vous présenter George Hemingway, laissez moi vous rappeler mes actes, laissez vous avoir.

Les oiseaux chantonnent, il fait chaud, trop chaud pour l'homme sur la terrasse. Il maudit la météo, il maudit les idiots de la télévision, il maudit tout le monde, même les trois jardiniers qui s'activent dans son jardin. Il fixe un point dans le vide, son front graisseux est parcourut d'une sueur puante, rance. Une femme magnifique, une blonde aux yeux verts de noir, élancée, silhouette mince s'en approche. Ils discutent, ils ont grands, ils peuvent parler.
George n'est pas très loin, il joue à abattre une grenouille qu'il vient de pêcher dans le petit étang privé du domaine, il la tape, un sang blanc coule bientôt. Il affiche un sourire satisfait, heureux de son crime, il vient de mettre à mort la première bête de son existence. Il ressent des picotements au niveau du sexe, il semble adorer ce genre de choses. George fixe les deux êtres qui s'embrassent sauvagement sur la terrasse, il est très en colère. Ils sont puants, comment peut-on s'aimer ? Il ne comprend pas, lui ce qu'il veut, c'est tuer, faire du mal, comme lorsqu'il a frappé la petite Betty jusqu'à lui casser trois dents et le nez, sans raisons, juste parce qu'il avait envie. C'était la première fois que son sexe s'était tendu à ce point, et depuis; il ne se tendait jamais que lorsqu'il tapait quelqu'un ou tuer une bestiole. George s'imagine déjà, il sera libre dans quelques temps, il suffit que ces deux silhouettes soient effacées, comme la brume efface les traces d'un phare. Il suffit de les faire disparaitre, ce sera enfantin, il le sait. A ce moment, son cerveau décroche, il veut les tuer, il veut être un petit homme libre. Il ne supporte pas ses parents, il ne supporte personne. Vivre ou mourir... Le choix n'appartiendra pas à ces deux personnes, non. Il veut avoir la vie de ses parents entre les mains, il veut pouvoir palper leurs cadavres découpés en suivant le sens des artères, ne jamais abimer une proie, il le sait, papa l'a amené à la chasse. Il regarde l'heure sur la montre reçue pour ses dix ans. Il est six heures moins le quart, son père se débarrasserait de sa blague "l'heure du ricard" si on lui eut annoncé l'heure. Il le sait, c'est ce soir le bon soir. Depuis six mois, il attendait que lui murmure le chant des oiseaux, il attendait de sentir ce léger frottement en lui. Il en est certain, il devra les découper ce soir, les faire souffrir un peu plus. Il en salive, il en bave. Il est heureux, il sort de derrière le buisson.
Maman se précipite pour le serrer dans ses bras fins, de petite fille. Il la laisse faire sans convictions, pensant au nombre de sachets qu'il faudra pour emballer ses bras, ses cuisses, son buste, et la pièce maitresse, la tête. Il veut contrôler son cœur, lui murmurer des mots doux avant qu'elle s'abandonne à la mort dans un dernier cri. Il veut qu'elle tombe, qu'elle s'écroule, qu'elle brûle. Il a élaboré une petite bombe artisanale grâce à la "recette" trouvée dans les livres sur la guerre de Papa. Il a déjà la pièce parfaite, il les fera descendre à la cave, il voudra montrer la pièce dérobée qu'il a découvert. Papa et Maman seront fiers de lui, il le sait, et il mettra en place son jeu pervers, salace. Il veut toucher son sexe déjà dur à cette idée, il veut voir en sortir ce liquide viril. Il voudrait avancer le temps pour voir brûler les corps.

Quelques heures plus tard.
C'est l'heure, c'est enfin le moment qu'il attendait. Son sexe n'a pas baissé de volume, son pantalon lui fait mal, son membre est prisonnier derrière une épaisseur en tissus, il souffre, mais ne dit rien. Tout doit être parfait, tout doit être comme dans son fantasme, magique, mathématiques, logique. Malgré son jeune âge, il sait déjà où il va aller, il ira chez son oncle et sa tante, qui se meurt d'un cancer du cerveau. Il est prêt. Il appelle Papa et Maman d'une voix presque mélodieuse, chantant le printemps, annonçant un bon présage. Il fait une mine étonner, déjà dans la cave, faisant semblant d'avoir découvert quelque chose de magique, comme la clé vers un monde de prostitués japonaises. Ils viennent, on entend les pas lourds de son père, et les talons qui claquent de sa pauvre mère. Ils entrent, George dit aller chercher une lampe torche, lorsqu'il sort de la pièce, il enferme ses parents. Tout est prêt pour eux depuis plus de huit mois; Il est enfin sûr de lui. Son sexe est tendu, il le libère, il le touche légèrement, le laissant ainsi à l'air libre de l’escalier tiède. Il entend déjà ses parents demander d'ouvrir, lorsque personne ne vient ouvrir, et qu'ils se rendent compte être réellement pris au piège, la femme pleure, hurle. Le sexe de George coule tout seul, il entame des vas et viens rapides. Au bout de quelques secondes, un cri rauque lui échappe, ses muscles se contractent, les cris ont doublé de volume. Il attrape le petit détonateur dans sa poche. Construit pendant la guerre, cette cave est blindée, résistant à toutes sortes d'explosions. Il presse le bouton, un boum, des cris. Puis plus rien. Un silence...De mort. Il ouvre après quelques secondes d'hésitations. Une odeur emplit ses narines, l'homme est mort, la femme a perdue ses jambes mais soupire encore. Il s'en approche, il penche son visage sur le sien et lui souffle au visage, elle suffoque, elle souffle, presque morte. Il se masturbe de nouveau et répand sa semence sur le visage de sa mère, il rigole à ne plus en pouvoir. L'odeur de chaire brûlée le drogue, il aime, il renifle. Il l'achève du couteau qu'il tenait dans sa main droite. Le Mal est né ce soir là... Camouflé pendant des années, il fit de nouveau son apparition.

Il veut effleurer son corps, toucher ses seins nus, croquer sa pauvre peau. Il enlève ses vêtements, se retrouve nu comme au premier jour, il fait trop chaud. Il passe d'abord ses mains appliquées sur son bras, il la touche, explore la marchandise. Son bras parfumé est bon, très bon. Il lèche sensuellement, son autre main caresse son sexe dur. Il jouit très vite, mais ne se laisse pas déconcentrer par un cri de jouissance. Il s'amuse tout d'abord, mordant comme un nourrisson suce le lait au sein de sa mère. Puis, tendrement, il tordit son bras, il y enfonça sa dentition, le sang encore chaud coulait dans sa gorge. Il en boit à la source, son autre main caresse ce corps coupé en deux. Il lèche encore, il croque, arrache la chair sauvagement. Il aime ça. Il grignote jusqu'à l'os, le suce délicatement.
Il décide de couper ce corps en morceaux et de garder ceux qu'il mangera. Il s'applique, et se lève, vers l'autre cadavre. Le repas promettait d'être excellent. Bienvenue aux Enfers.



you, behind the screen
.

    • T'ES QUI TOI ??
    Mhhhh. Je suis poisson rouge depuis soixante dix générations dans ma famille. Amoureux de la nature, amoureux du Japon Irradié et de Mouamar Kadhafi... *OUT*
    Je m'appelle Yoann, 17 ans, en couple avec la plus magique des copines, je suis un amoureux chronique de Melissa. Je partage ma vie entre discussions avec elle, cours, écriture (j'ai pas de talent là :o) et lecture, qui je pense vous rappellerons de belles choses : Hannibal est mon bouquin favori en ce moment d’où la tourne sauvage de l'histoire...
    Plus d'infos lire "On a tous un staff dans le coeur" (l)
    • ET SUR LE FO' ??
    IL EST BANDANT

    • C'EST MAINTENANT OU JAMAIS
    BUSHIDO. FUKUSHIMA N°1. REACTEUR NUMERO QUATRE. SARKOZY. KADHAFI. ANNE LAUVERGEON, TCHERNOBYL. EMPEREUR JAPONAIS. COUILLES ET POILS DE BUSE. MILLE MILLIARDS DE MILLE SABORDS. TONNERRE DE BREST.

    • SIGNATURE DU RÈGLEMENT
    Citation :
    'George L. Hemingway (et même sa mère morte)', alias 'Yo'' déclare avoir pris connaissance du règlement et s'engage à le respecter tout au long du jeu sur Deathly Dementia



Dernière édition par George L. Hemingway le Sam 19 Mar 2011 - 0:20, édité 1 fois
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